2019

Nyota Inyoka transposée


MERCREDI 27 NOVEMBRE

Performance collective sur Nyota Inyoka au BnF

MERCREDI 13 NOVEMBRE

Performance du 13 novembre 2019 « Nyota Inyoka transposée » dans l’exposition de la rotonde des arts du spectacle – BnF site Richelieu – avec Katia Légeret (artiste et enseignant-chercheur Paris 8) et les jeunes chercheurs artistes de l’université Paris 8  Karine Leblanc, Mercedes Chanquia-Aguirre, Moez Awled Ahmad, Apolline Borne, Charline Bruhat, Jérôme Collet, Julia Francisco, Griselda Daufour, Joséphine Guin, Sameh Guirguis, Lauriane Lacombe, Louise Le Danvic, Martin Mendiharat, Floriane Michel, Moe Nishimura, Valentina Paniagua, Véronica Rendon, Anna Rinzo, Noa Soussan, Javier Quijano Moran, Géraud Viruega.

L’Argentina

MERCREDI 13 NOVEMBRE

Performances du 13 novembre 2019 sur les archives exposées de la danseuse espagnole L’Argentina (1890-1936), dans la rotonde des arts du spectacle – BnF site Richelieu avec Luc Petton, chorégraphe, sur sa création La sombra (L’ombre) interprétée par le danseur flamenco Patricio Martin, avec Mercedes Chanquia-Aguirre (artiste et doctorante Edesta/Paris 8), Thomas Vauthier (artiste et doctorant Edesta/Paris 8), Fanny Terno (artiste et doctorante Université Aix/Marseille), Emma Terno, en lien avec La Argentina Sho, chorégraphie de Kazuo Ohno (1986). Organisation Katia Légeret.

Mercedes Chanquia-Aguirre

Nos lunes personnelles

MERCREDI 8 MAI

À l’occasion des 50 ans des premiers pas de l’Homme sur la Lune, à l’exposition au Grand Palais LA LUNE. DU VOYAGE RÉEL AUX VOYAGES IMAGINAIRES, des jeunes artistes chercheurs de l’université Paris 8 proposent aux visiteurs un parcours poétique avec des performances en lien avec 10 des œuvres exposées.

Le muséeonaute

Avec Isadora Teles de Castro e Costa, doctorante en arts numériques EDESTA/INREV Paris 8, qui a créé un dispositif interactif et sensoriel sous la forme d’un costume-interface-peau  muni de capteurs électroniques et d’un vidéo-projecteur portatif. Celui-ci sera porté par différents performeurs-visiteurs pendant tout le parcours de l’exposition et diffusera des formes générées par ordinateur en temps-réel sur le costume ou sur l’environnement. Ce processus vise une possible transgression de nos perceptions habituelles normées et la création d’une imagination augmentée, qui  viendra suggérer une interprétation virtuelle de la lune, à la fois subjective et intersubjective. 

Faces cachées 

Présences silencieuses et chuchotements, corps poétiques en relation au spectateur et aux œuvres : 1rst Ship on Venus de Sylvie Fleury (2018), Journey to the Moon de William Kentrige (2003), Le mètre lunaire d’Evariste Richer (2012), Moon is the Oldest TV  de Nam June Paik (1965/1992).

Avec Nadia Vadori-Gauthier (danseuse contemporaine, chercheure docteure de Paris 8/EDESTA) et la participation d’étudiants de Paris 8 en licence 3 de théâtre : Lisa Bouvy, Claire Buray, Denzel Calle Gonzalez,  Vanera Corbion, Diane Courteille, Ines Dutour, Oceane Gay, Ambris Lagarias, Koceila Meksem, Augustin Mourey, Alicia Mouyal, Mathilde Raffray, Adrien Salvador, Yu Shan, Leonor Malavia. Salles 1 et 2.

Nadia Vadori-Gauthier

Zone d’ombre en luminescence

Médiation performative collective pour une invitation à une immersion avec les visiteurs, tactile, auditive, visuelle, gestuelle, réelle et virtuelle, en écho avec les premiers pas de l’homme sur la lune et en résonance avec l’œuvre Side d’Ann Veronica Janssens. Avec : 

Zone d’ombre de Mercedes Chanquia-Aguirre qui questionne notre manière de marcher sur terre, son avenir, et nos relations aux déchets et aux traces que nous laissons derrière nous comme des ombres.

Draw Me A Sky

(Co-création : Laetitia Perez, Sonya Khalfallah et Tsovinar Banuchyan, doctorantes en arts numériques EDESTA/INREV Paris 8.), une installation numérique interactive d’une galaxie immersive, dont le visiteur devient co-créateur avec trois gestes proposés en résonance avec l’œuvre Side, où il pourra dessiner et observer les traces de leurs trajectoires. 

Participation des étudiants en arts Héléna Cordeiro, Manon Dercourt, Marine Gourhand, Julia Magnan. Salle E.

Mercedes Chanquia-Aguirre

Sur un poème de l’Inde dédié au dieu Lune Chandra (Statuette de l’Inde du Nord, deuxième moitié du XIXe siècle)

Echanges gestuels avec le public, à partir de la Langue des signes française et des mudras du théâtre dansé Bharata-nâtyam. Rotonde en bas des escaliers.

Chant et composition musicale carnatique de ce poème sanscrit du VIe siècle par Bhavana Pradyumna.

Corps poétiques en Gestes, Signes et Sens. Groupe d’étudiants en LSF avec Ivani Fusellier-Souza, enseignante-chercheure en sciences du langage (Paris 8/ CNRS-UMR 7023-SFL), avec la participation des licences : Meghane Carrette, Magaly Chauvin, Mélodie Coyac,  Emma Dubois, Léa-Luz Garcia-Chatillon,  Louise Grimaud,  Marie Hotellerie,  Mélanie Jumel, Linda Kabou,  Tiphaine Le Bot,  Phoebee Michel,  Charline Redaud-Masson,  Aurélie Richard,  Djena SekatNour Zorai.

 Jouer et danser Chandra. Groupe d’étudiants en licence de théâtre avec Katia Légeret-Manochhaya, professeure chercheure en esthétique des arts de la scène (Paris 8/ EA Scènes du monde), et la participation de Bonneau Dorianne, Dagoneau pierre, Dercourt Manon, Djilani-allala Myriame, Gourhand Marine, Lethiec Gabrielle, Marcolino Pereira Daniel, Nowak Emma, Poinot-Widmann Foulques, Thionville Andy, Cacchia Louis, Cordeiro-Colibet Helena, Vakalis Aris, Tabka Myriam.

 Encore une vieille lune !

Dans les nuits de Paris, la vieille Ek Oubé se promène, recyclant les poubelles. Dans les jours de Paris, la vieille Ek Oubé lit les lignes de la main aux Champs Elysées. Et voici qu’aujourd’hui, elle entre au Grand Palais pour chuchoter, à qui le veut bien, l’étoffe de lune dont nous sommes tissés. “Ah, si mes doigts pouvaient t’effeuiller, ô lune !” écrivit son ami, le poète Lorca, qui l’a tant aimée, la tisserande de corps, de marées, de rosée, au silence d’une langue, de bien avant les mots. Dernière salle de l’exposition.

Par et avec Muriel Roland, comédienne, doctorante EDESTA/Paris 8. Scénographie: Fabienne Oudart, plasticienne. Devant l’œuvre Endymion endormi, Antonio Canova, 1819.

Muriel Roland